de porte en porte

de port en port, jamais angkor je te le jure, je n'ai pu oublier ton cor.....de brume; de la jugle cambodgienne, à la forêt colombienne, mon trip de ouf porté par la coke m'a laissé un gout a kmer et fait perler des gouttes de pluie venue d'une coque ou il ne pleut pas...vous avez dit embruns? Pouquoi pas aurait di charcot en chiquant son p'tit brun, le temps d'effacer un coup de barre et mars nous attire grave....iter....fusionne son uranium et pluton s'éloigne à la voile lactée, délire au sortir du port d'amsterdam ou y a des marins qui reboivent encore .....et vomissent une nuit, un jour qu'ils ont adoré .....le koursk fait enfin surface, mais il est trop tard, l'union éthilique s'est écroulée et nos espoirs ont défait le mur, les compartiments sont pleins et les hommes éteints plus jamais ne chanteront....quelle honte y a-t-il à ceux là? Respect, silence, recueillement et cap sur deux mains cispée sur la barre.....l'espoir du Kursk est angkor a kmer!